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La véritable histoire de la campagne de 1940.

La faiblesse de la Wehrmacht

Si le service de renseignements militaire français avait su qu'aucun panzer ne leur faisait face, la situation aurait pu être différente. Non seulement il n'y avait aucun blindé chenillé allemand à l'ouest du Rhin, mais en plus la Wehrmacht ne possédait aucune arme antichar capable de rejeter une invasion de blindés. La plus forte défense allemande s'avéra être les actualités filmées du blitzkrieg, qui intimidèrent et trompèrent les services de renseignement français.
A l'opposé de la propagande nazie prétendant à un potentiel militaire sans limite, l'armée allemande manquait d'équipements de combat. Ses unités étaient spectaculairement à court de mitrailleuses, de fusils d'assaut, d'artillerie et de chars. L'arme blindée tant vantée ne comptait qu'à peine 200 chars moyens Mark IV – le char plus moderne dans les stocks allemands – équipés de canons de 75 mm à basse vélocité. Le reste de la force comprenait des chars légers Mark II produits à la hâte et équipés de canons de 20 mm ou de mitrailleuses en tourelle, et même des Mark I faiblement blindés et armés de deux mitrailleuses. Conçus pour l'entraînement jusqu'à ce que des modèles plus lourds soient disponibles, ces chars légers étaient au mieux adaptés à des reconnaissances mécanisées. Le temps que des unités blindées puissent rapidement faire la navette jusqu'au front occidental, les Français auraient déjà pu occuper la Rhénanie.

La pénurie de transports motorisés en Allemagne amena la Wehrmacht à se procurer en dernière minute des véhicules de toutes tailles et de tous genres. L'acquisition hâtive de 16'000 véhicules supplémentaires accrut le fardeau de la maintenance. De nombreux véhicules provenaient des territoires récemment annexés, l'Autriche et la Tchécoslovaquie. Le problème de l'obtention des pièces de rechange pour les camions prit des proportions cauchemardesques, puisqu'il y avait en service dans l'armée 100 différents types de camions, 52 modèles de voitures et 150 sortes de motos. En conséquence, de nombreuses formations de reconnaissance de la Wehrmacht chevauchaient des side-cars arborant d'éclatantes couleurs civiles.

La doctrine blindée française


En 1939, l'armée française possédait parmi les meilleurs chars au monde. Dotés d'une mécaniques solide et puissamment armés, ils avaient un blindage plus épais que celui de n'importe quel char allemand et des équipages bien entraînés. S'il y avait un seul défaut dans la doctrine blindée française, il était lié aux principes d'engagement des chars. Dépourvus d'entraînement dans les man½uvres de chars à grande échelle, les Français tendaient à employer leurs blindés dans des attaques par petits paquets, sans coordination avec l'infanterie, l'artillerie et l'aviation.

Dans les rares exemples où les chars français se traînèrent à travers la frontière à portée des canons ennemis, les obus antichars allemands de 37 mm rebondissaient sans effet sur le blindage des Chars B-1 bis de 33 tonnes.Et ici celle du message complet.
 Au combat, les chars B 1 bis se comportèrent assez bien contre les Allemands. Il s'agissait certainement d'un char trop sophistiqué pour son temps, d'un entretien et d'un emploi difficiles, à la transmission un peu délicate et d'une autonomie trop faible. Enfin, il convient de rappeler que si les chenilles enveloppantes (qui rappelaient les chars britanniques de 1916-1 faisaient de lui une cible assez vulnérable sur les flancs, elles lui donnaient cependant une aisance certaine en terrain accidenté et facilitaient l'entrée et la sortie des membres de l'équipage.
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Mark IV


Les chars français répliquèrent avec leurs canons de 47 mm sur tourelle à haute vélocité ou de 75 mm sous casemate. Les échanges isolés, toutefois, s'achevaient généralement par un match nul. Les Allemands disparaissaient et repositionnaient leur canons de petit calibre pendant que les charistes français se retiraient derrière une ligne protectrice d'infanterie. Ces escarmouches mirent en lumière une faille dans la conception des blindés français : le Char B-1 bis avait ses ouvertures de radiateur sur le côté, à un point où un impact d'obus antichar de petit calibre pouvait mettre le char hors combat.



Forces en présence au 10 mai

France


104 divisions 10 700 canons 3 700 chars 1400 avions
Grande-Bretagne

10 divisions 1300 canons 310 chars 460 avions
Belgique

22 divisions 1400 canons 100 chars 250 avions
Pays-Bas

9 divisions 700 canons 1 chars 175 avions
Total

145 divisions 14 100 canons 4111 chars 2285 avions


Allemagne

141 divisions 14 000 canons 2 550 chars 4 020 avions

Les véritables raisons de la défaite française


En dépit d'une idée courante, l'armée française était loin d'être inférieure à l'armée allemande en qualité et en quantité, exception faite des domaines de l'aviation et de la défense antiaérienne. Le ciel n'est cependant pas vide, comme il a souvent été dit, même si les chasseurs français vraiment capables de rivaliser avec leurs homologues allemands sont encore trop peu nombreux au sein des unités, comme le Dewoitine D.520,
 avec seulement trente-six exemplaires. L'artillerie française, contrairement au premier conflit mondial et à la guerre de 1870 , n'a rien à envier à son homologue allemande. Malgré un mythe répandu, les panzers de la Wehrmacht n'ont rien d'invincibles en eux-mêmes, bien au contraire. La France dispose des Char Somua S-35,

 
et les B1 bis (voir plus haut),qui sont parmi les plus puissant chars d'Europe. Leur blindage résiste à tous les canons antichars allemands de l'époque, ainsi qu'aux canons des Panzerkampfwagen II,

 Panzerkampfwagen III,

 
et Panzerkampfwagen IV

 
et leur armement surpasse celui de la majorité des panzers. S'il est vrai que la majorité des chars en service sont des blindés légers, c'est également le cas dans l'armée allemande, où le char le plus puissant,le Panzerkampfwagen IV seul capable de rivaliser avec les Chars Somua S-35 et B1 bis français, ne représente qu'environ 10 % des blindés en service.

Alors pourquoi la France a-t-elle été vaincue si rapidement en 1940 ?



Au niveau tactique, principalement en raison de la doctrine d'emploi des armes, en particulier des blindés. Alors que les 2 592 panzers allemands sont regroupés au sein de dix divisions très autonomes et cohérentes, d'environ 250 blindés soutenus par de l’infanterie, du génie et de l’artillerie motorisés, plus des deux tiers des quatre mille deux chars français sont répartis en Groupements de bataillons de chars d'une centaine d'engins aux diverses armées, sans aucune autonomie opérationnelle, ni appui. Pour l'état-major français de l'époque, le blindé reste principalement, comme en 1918, un élément d'accompagnement et de soutien de l'infanterie.
Les chars français sont donc conçus en conséquence et, en dépit de leur blindage et de leur armement supérieur, souffrent de nombreuses lacunes par rapport aux allemands. L'absence quasi totale de système de communications radiophoniques, par ailleurs, les rares disponibles sur les chars lourds tombent bien souvent en panne, en comparaison tous les chars allemands disposent de radios modernes et fiables. Une autonomie réduite toujours du fait de leur conception en tant que soutien d'Infanterie, qui se combine avec la faiblesse du système de ravitaillement en carburant. On note aussi la prédominance de tourelles monoplaces où le chef de véhicule est surchargé. D'une certaine façon, le pire côtoie le meilleur. On voit néanmoins, des succès francs, voire retentissants, comme à Stonne avec plus de 100 chars allemands détruits, dont douze par un seul char B1 bis, ou encore Hannut ou la première bataille de blindés de la seconde guerre mondiale s'est déroulée sur son territoire le 12 mai 1940 et Montcornet. Mais les chars français ont cependant peu d'opportunités de montrer leur supériorité, et ne peuvent influer sur le cours des événements, car la guerre menée par les Allemands va plus vite qu'eux. Si l'emploi combiné de l'aviation et des blindés explique en partie la défaite française, elle est insuffisante à elle seule. Élaborée et mise en pratique sur le plan tactique par les Allemands lors de la campagne de pologne en 1939, son efficacité contre l’armée française était encore sujette a caution au sein du commandement allemand avant le déclenchement des opérations. Même si elle y reçoit un écho peu favorable, en raison du conservatisme idéologique de l'état-major, elle est connue aussi en France et pourrait être appliquée, par certains de ses théoriciens, comme le colonel Charles de Gaulle.

La France dispose alors de sept divisions blindées : les 1re, 2e et 3e divisions légères mécaniques et 1re, 2e, 3e et 4e divisions cuirassées. Certes, les deux dernières ont été constituées un peu à la hâte après le début du conflit, mais la plupart sont plus puissantes que leurs équivalentes allemandes, même si elles sont un peu moins bien organisées. Cette idée d'une tactique allemande irrésistible, la blitzkrieg, semble avoir été mise en avant après la défaite, pour minimiser la responsabilité des chefs militaires français, dans la débâcle française, leurs erreurs sur le plan stratégique ayant été nombreuses et graves ; dés le Procès de Riom s'est déroulé pendant la guerre, dans la ville de Riom.

À l'initiative du gouvernement de VICHY, il avait pour but de juger les responsables politiques de la 3éme république pour leurs responsabilités dans la défaite de 1940.Ce procès ne fut finalement jamais terminé, les accusés commençant à prouver que c'était l'Armée (notamment de nombreux dignitaires du nouveau régime) et non les politiques qui étaient responsables. Les accusés furent remis plus tard aux Allemands.Malgré le fait que la question des opérations militaires de septembre 1939 à juin 1940 ne devait pas être abordée durant le procès, l'évolution de ce dernier mit de plus en plus en lumière la vérité; à savoir que la responsabilité de la défaite incombait principalement à la déficience et aux carences manifestes du haut commandement militaire (chars mal employés et canons restés dans les dépôts d'armements en seront quelques exemples) ; et qu'il en allait de même en ce qui concernait le choix de l'Armistice et de la reddition qui s'ensuivit (alors que la France disposait encore d'une force considérable en métropole).


Les autorités vichystes qui ont à juger les "fautifs" de la grande débâcle du printemps 40 vont jusqu'à avancer les chiffres (pour le moins fantaisistes) de 7 500 chars et de plus de 5 000 avions mis en ligne par la Werhmarcht.Une manipulation arithmétique bien dérisoire pour cacher une réalité bien plus simple et bien plus prosaïque. Les historiens, en particulier anglo-saxons, tels Kenneth Macksey ou John Keegan portent aujourd'hui un regard neuf sur cet épisode historique, et remettent de plus en plus en cause la supériorité allemande.

On peut s'interroger sur la possibilité qu'avait la France de continuer la lutte.
Il faut souligner que les forces allemandes ont subi des pertes journalières supérieures à celles observées dans l'opération BARBAROSSA et qu'elles étaient dans une situation périlleuse sur le plan logistique lors de l'Armistice.
Un rapport de GUDERIAN transmis à l'Oberkommando des Heeres début octobre 1940 indique que les forces allemandes engagées en France avaient besoin de 4 à 6 semaines d'arrêt avant de reprendre l'avancée vers le sud.

* État du carburant : 15 % des besoins.
* État des munitions : 17 % des besoins.
* État des transport par camions : 25 % à 30 % du nombre requis.

Dans ces conditions, plusieurs historiens estiment que l'on aurait pu ralentir l'avance allemande suffisamment longtemps pour que les forces françaises puissent se replier en Afrique du nord.

Non,il n'y eu pas de défaillance de l'armée française.

En six semaines de combat, l'armée française laissa près de 90 000 morts et 240 000 blessés sur le champ de bataille. Ce taux de perte fut analogue à celui de la bataille de Verdun.

Dans ce même temps, les Allemands perdirent environ 40 000 hommes. Ces simples chiffres montrent qu'en dépit des nombreuses lacunes de son commandement, les troupes françaises ont résisté à l'armée allemande.


La bataille de Gembloux, 14 et 15 mai 1940 :


Le 10 mai, les troupes françaises montent en Belgique que les Allemands viennent d'attaquer. Elles se déplacent de nuit et rejoignent Gembloux le 13. Leur mission est de stopper les Allemands pour permettre aux troupes françaises et anglaises d'établir une position défensive entre la Dyle et la Meuse (application du plan Dyle). Le terrain est favorable aux unités blindées, donc à l'ennemi.

Les Français se servent de la ligne de chemin de fer Bruxelles-Namur pour compléter la défense des agglomérations (Gembloux et Ernage). Il faut faire vite car le corps de cavalerie cède devant la pression du XVIème corps blindé allemand.

Dès les 14 et 15 mai, la bataille commence à faire rage. Les Stukas appuient naturellement les blindés allemands tandis que la chasse française, occupée dans le nord de la Belgique, laisse croire aux soldats se terrant sous les bombes que l'aviation française est absente de la bataille. C'est comme cela que naissent les légendes.

Les soldats français doivent stopper l'avance des divisions de panzers, seuls, sans appui aérien, sans support de blindés. Deux compagnies de la division marocaine sont exterminées dans Ernage.

Face au feu nourri et démesuré de l'artillerie française qui reproduit la méthode "Verdun", le XVIème corps blindé allemand doit cesser son offensive. L'artillerie a détruit 62 des 500 chars ennemis, soit la moitié des effectifs du 35ème régiment.

Le commandement allemand monte alors une attaque "classique" et décide d'envoyer l'infanterie en avant des panzers pour poursuivre l'attaque à l'ouest d'Ernage. Mais c'est trop tard, la nuit tombe, les troupes françaises se retirent, menacées sur leur arrière par l'irruption des panzers qui ont traversé la Meuse.

Sur les 700 hommes du 7ème RTM, restent 74 officiers, sous-officiers et tirailleurs en ce matin du 16 mai, tout leur matériel a été détruit. Le front français n'a pas cédé mais les pertes sont terribles. Cette action sans lendemain, préparée à la hâte, illustre un des rares exploits de ce type durant cette campagne. Les soldats français ont réussi à bloquer sur place des troupes blindées avec une infanterie dépourvue de blindés et d'appuis aériens.



La bataille de Stonne , 15 et 16 mai 1940 :


Le 13 et 14 mai, les blindés allemands franchissent la Meuse après avoir traversé les Ardennes que le commandement français croit infranchissables. Le corps blindé de Guderian a alors la possibilité de contourner et de prendre à revers la ligne Maginot en passant par le sud ou, en fonçant plein ouest, d'envelopper les troupes françaises qui tiennent le front de la Meuse jusqu'en Hollande (ce qu'il fera).

Quelle que soit l'hypothèse, seules les collines boisées de Stonne et du Mont-Dieu peuvent contrer l'avance ennemie. La 3ème DIM et la 3ème DCR sont appelées d'urgence dans la nuit du 13 mai. Les blindés français sont engagés en appui de l'infanterie dans un combat, une fois de plus, purement défensif.

Dans la nuit du 15 au 16, le village de Stonne est perdu, repris, puis encore perdu. Il change de main plusieurs fois au gré des combats acharnés qui y font rage. Le matin du 16 mai, une contre-attaque menée conjointement par l'infanterie et les blindés français déloge l'occupant, détruisant la tête d'une colonne de panzers.

Le capitaine Billotte, commandant le 41ème bataillon de chars, monte à l'assaut de Stonne avec ses chars B1 bis, largement supérieurs en blindage aux chars allemands. Arrivé en haut d'une rue, il découvre une colonne de blindés ennemis. Billotte et son équipage la réduiront à néant. On relèvera plus d'une centaine d'impacts sur le char français mais celui-ci n'est pas hors de combat.

Seuls, les effectifs complets d'une division d'infanterie allemande parviendront à reprendre les ruines fumantes du village de Stonne, mais ne pourront repousser les Français du Mont-Dieu. Une fois de plus, les pertes sont terribles: 362 officiers, sous-officiers et soldats tués au 67ème RI. Finalement une compagnie de chasseurs à pied termine la bataille avec 5 sergents et 30 chasseurs.


La bataille des Alpes :


Le 17 juin, le corps blindé de Guderian, en atteignant Belfort, encercle la ligne Maginot prise à revers. La veille, le maréchal Pétain est élu président du Conseil et entame des négociations d'armistice.

Le général Orly, commandant l'armée des Alpes, réussit à galvaniser ses troupes. A un contre trois, il rejette l'attaque italienne lancée le 21 juin sur les cols. En même temps, il établit une défense sur l'Isère et le haut Rhône contre un corps de blindés allemands tentant de le prendre à revers.

Le général allemand Hoepner commandant le XVIème corps blindé a pour mission de prendre Chambéry et Grenoble pour couper la retraite d'une armée des Alpes "censée" succomber aux chasseurs alpins italiens. Mais seule la ville de Menton tombe aux mains des italiens tandis que tous les avant-postes continuent à résister.

La IIIème division de panzers, ne verra jamais Grenoble. A Voreppe, les chars allemands sont stoppés par une infanterie française qui improvise sa défense, mais dont le soutien d'artillerie est fourni par le 105ème RAL. Les tirs qui furent d'une précision rare, ont "sonné" les colonnes motorisées qui ne peuvent plus avancer. Grenoble et Chambéry sont sauvées.

Le 25 juin, à l'entrée en vigueur de l'armistice, la Ligne Maginot des Alpes est intacte. Les panzers allemands étaient bloqués à Voreppe et les troupes italiennes devant la ligne des avants-postes.


Conclusion :


Chaque fois que le soldat français a été bien encadré, il a pris l'ascendant sur l'ennemi. Le soldat français n'a pas démérité en 1940, 90 000 morts et 240 000 blessés sont là pour nous le rappeler.


La trahison ANGLAISE,HITLER en décrit les raisons:

 
" Si j’étais Français, dit le " Führer ", et si, par conséquent, je tenais autant à la grandeur de la France que je tiens à celle de l’Allemagne, je ne pourrais et ne voudrais agir autrement qu’un Clémenceau pour qui la paix était la continuation de la guerre." Mais la France ne peut être battue que par une coalition : donc, l’Allemagne a besoin d’alliés. Quels peuples choisira-t-elle ? D’abord l’Angleterre. Car l’Angleterre poursuit depuis trois siècles une politique d’équilibre européen et s’efforce continuellement d’empêcher qu'une nation n’établisse son hégémonie sur le continent : après la destruction de la puissance maritime de l’Espagne et des Pays-Bas, elle a combattu la France napoléonienne ; elle devait prendre ombrage de l’essor allemand à l’époque wilhelminienne et s’engager obligatoirement dans la coalition antigermanique de 1914. Mais l’Angleterre s’apercevra qu’elle a perdu la guerre puisque, l’Allemagne s’étant effondrée, c’est la France qui assied son hégémonie sur l’Europe. Pour rester fidèle à sa grande tradition politique, l’Angleterre devra donc logiquement dans l’avenir s’allier à l’Allemagne contre la France...


Mais elle visée déja les USA.





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